Un soldat enfonce sa lance dans le côté de Jésus. Du sang et de l’eau s’écoulent. Jésus est bien mort. Un pharisien qui croit en Jésus reçoit l’autorisation de Pilate de placer son corps dans un tombeau neuf. Après l’embaumement, une grande pierre est roulée et scellée devant l’entrée de la tombe qui est gardée par des soldats.
Les anges disent aux femmes : « Pourquoi cherchez-vous parmi les morts celui qui est vivant ? Il n’est point ici, mais il est ressuscité. »
Luc 24, 5b – 6a
Les disciples de Jésus sont profondément attristés, effrayés et paniqués. Marie-Madeleine, se rend tôt le matin au tombeau et voit que la pierre est roulée. Elle pense que quelqu’un a volé le corps de Jésus et elle pleure. Soudain, Jésus se tient devant elle et lui parle. Enthousiaste, elle court ensuite vers les disciples : «Jésus est ressuscité, comme il l’avait annoncé.» Immédiatement, Pierre et Jean courent au tombeau et trouvent tout comme Marie leur a dit. Un sentiment mitigé de joie, d’espoir et de doute habite les disciples. Soudain Jésus apparaît et leur parle. Thomas n’est pas là, il doute et dit : «Je ne croirai que lorsque je pourrai mettre mes doigts dans ses blessures.» un peu plus tard, Jésus se tient à nouveau parmi eux et invite Thomas à le toucher; alors Thomas croit.
Une autre fois, Jésus rencontre les disciples en train de pêcher. Il a déjà préparé du poisson sur le feu. Il mange avec eux et leur dit : – Bonjour, je suis vraiment vivant ! La résurrection est la preuve ultime que Jésus est bien le Fils de Dieu, comme il le disait !
Ainsi Jésus est le seul chemin vers la vie éternelle. Quiconque lui fait confiance peut savoir qu’il est sauvé et qu’il est un sujet du royaume de Dieu. Venu au monde pour servir et sauver, Jésus a parfaitement accompli sa mission.
Écrivez-nous si vous avez des questions sur la Bible.
«Komm doch vom Kreuz herunter, wenn du wirklich Gottes Sohn bist.» So wollte einer den andern mit gemeinen Äusserungen übertrumpfen. Das Böse schien in diesem Moment zu siegen. Die Antwort des schmerzgezeichneten Jesus war:
«Vater vergib ihnen! Sie wissen nicht, was sie tun.»
Lukas 23, 34
Einer, der mit ihm gekreuzigt wurde, bat ihn: «Denke doch an mich, wenn du in dein Reich kommst.» Darauf antwortete Jesus: «Noch heute wirst du mit mir im Paradiese sein!» Seinen Jünger Johannes bat er: «Kümmere dich um meine Mutter.»
Würden Sie sich auch um Ihre Nächsten sorgen bei unerträglichen Schmerzen und mitten im Todeskampf? Warum konnte es Jesus?
Seine letzten Worte: «Es ist vollbracht!» zeigen seine Liebe zum Vater und seinen Gehorsam zum Auftrag! Sein Blut war der Preis zur Versöhnung von uns Menschen mit Gott. Der laute Sterbensschrei in die Finsternis hinaus bekam durch die Auferstehung an Ostern ein unüberhörbares Echo! – Das Licht der Welt scheint weiter, und die Hoffnung des Lebens hat dem Tod die Macht entrissen.
Als die Erde bebte und der Vorhang im Tempel zum Allerheiligsten von oben bis unten zerriss, stellte der Gottes Sohn den Zugang von uns Menschen zu Gott wieder her. Allen die Jesus, dem «Opferlamm» vertrauen, wird Vergebung geschenkt. Die Liebe Gottes streckt allen in Jesus die Hand zur Versöhnung entgegen!
Der Offizier, der alles miterlebte, sagte: «Dieser war wirklich Gottes Sohn!»
Wie damals riskiert man auch heute als altbacken oder schlicht ungebildet dazustehen, wenn man Jesus vertraut.
«Descends donc de la croix si tu es vraiment le Fils de Dieu !» Les spectateurs prononcent toutes sortes d’insultes et de paroles injurieuses. Le mal semble triompher.
Jésus, au comble de la douleur, répond : «Père pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font.»
une partie de Luc 23, 34
Un des brigands crucifiés avec Jésus lui demande : «Souviens-toi de moi quand tu viendras dans ton royaume.» Jésus lui répond : «Aujourd’hui même, tu seras avec moi dans le paradis !» Jésus demande à son disciple Jean : «Prends soin de ma mère.»
Dans des circonstances semblables, au paroxisme de la souffrance, aurions-nous la lucidité de demander à quelqu’un de prendre soin d’un parent ? Pourquoi Jésus le peut-il?
Ses derniers mots, «Tout est accompli », montrent son amour pour son Père céleste et son obéissance à sa volonté ! Son sang, sa mort, c’est le prix à payer pour la réconciliation des humains avec Dieu. Au grand cri de la mort dans la nuit noire répond comme en écho le cri de la résurrection à Pâques. La lumière du monde continue à briller et la vie a vaincu le pouvoir à la mort.
Lorsque la terre tremble et que le voile du temple se déchire de haut en bas, le Fils de Dieu rétablit l’accès des humains vers Dieu. Tous ceux qui ont confiance en Jésus, «l’agneau sacrifié», sont pardonnés. En Jésus, Dieu tend la main à tous pour la réconciliation !
L’officier qui assiste à tout cela affirme : «Celui-ci est vraiment le Fils de Dieu !» Aujourd’hui comme à l’époque, on risque d’être traité de vieux jeu et d’inculte si on met sa confiance en Jésus. Croyez-vous la déclaration de l’officier ?
Des soldats fixent sur la croix un panneau portant l’inscription « Roi des Juifs » !
Mais d’abord, reprenons dans l’ordre tout ce qui s’est passé.
Dans la nuit, Judas, un disciple de Jésus, arrive avec des soldats. Il embrasse Jésus. Les soldats l’arrêtent et le traînent devant le tribunal. Les disciples prennent peur et s’enfuient. Seul le disciple Pierre, se gardant à bonne distance, observe tout ce qui se passe. De faux témoins accusent le Fils de Dieu, mais aucune faute ne peut être retenue contre lui. Le gouverneur romain Ponce Pilate comprend rapidement que la jalousie et l’envie sont les véritables raisons de ce « faux procès » organisé par les chefs religieux. Quelques jours avant, on avait entendu dans la ville la foule qui acclamait Jésus en disant: «béni soit le roi qui vient.» Maintenant le peuple manipulé crie «Crucifiez-le !» Comme l’ambiance peut facilement basculer !
Pilate leur dit pour la troisième fois ; « Quel mal a-t-il fait ? Je n’ai rien trouvé en lui qui mérite la mort. »
Luc 23, 22a
Pilate se laisse fléchir par l’insistance de la foule. Il se lave les mains, signe de son innocence dans la suite des événements. Il libère le brigand Barabbas mais condamne Jésus. D’abord, les soldats le fouettent, lui mettent une couronne d’épines sur la tête et se moquent de lui. Ils lui font porter une croix à travers les rues de Jérusalem jusqu’à la colline de Golgotha. Là, ils le crucifient.
Ils veulent faire taire le roi des Juifs, le réduire définitivement au silence afin que la lumière du monde s’éteigne. Afin que l’espoir de vie meure avec la crucifixion. Une fois de plus, les chefs religieux pensent arriver à leurs fins.
Mais nous croyons que Jésus reviendra un jour en tant que Roi, comme Il l’a dit. Alors tous devront s’incliner devant lui et le reconnaître comme Roi, même ceux qui l’ont percé! Jésus peut-il être votre Roi ?
Die Soldaten befestigten ein Schild mit der Inschrift «König der Juden» ans Kreuz! Doch zuerst alles schön der Reihe nach.
Aus der Finsternis tauchte der Jünger Judas mit einigen Soldaten auf. Er begrüsste Jesus mit einem Kuss und verriet ihn so. Dann nahmen sie ihn fest und schleppten ihn vor Gericht. Die Jünger bekamen Angst und flohen. Nur der Jünger Petrus hielt sich in sicherer Distanz auf und beobachtete alles. Falsche Zeugen beschuldigten den Gottes Sohn schwer, doch ihm konnte kein Unrecht vorgewiesen werden.
Dem römischen Statthalter Pontius Pilatus war schnell klar, dass Eifersucht und Neid der wahre Grund für diesen «Schein-Prozess» der religiösen Drahtzieher war. Tage zuvor tönte es noch: «Hosianna dem König, der da kommt.» Nun rief das aufgewiegelte und manipulierte Volk: «Kreuzigt ihn!» Wie leicht doch die Stimmung kippen kann.
Pilatus liess sich vom Drängen der Masse erweichen. Er wusch seine Hände in Unschuld, befreite den Räuber Barabas und liess Jesus kreuzigen. Zuerst peitschten sie ihn aus, setzten ihm spöttisch eine Dornenkrone auf und trieben ihn mit dem Kreuz durch Jerusalems Gassen bis zum Hügel Golgatha. Dort wollte man den König der Juden am Kreuz endgültig zum Schweigen bringen. Das Licht der Welt sollte ausgelöscht und die Hoffnung des Lebens am Kreuz sterben. Die fromme Elite machte einmal mehr die Rechnung ohne Gott.
Pilatus versuchte es ein drittes Mal und sagte zu ihnen: «Was hat er denn verbrochen? Ich habe bei ihm kein Vergehen entdeckt, auf das die Todesstrafe steht.»
Lukas 23, 22a
Jesus wird als König wieder kommen, wie er es gesagt hat. Dann werden sich alle vor ihm beugen und als König anerkennen müssen, auch die, die ihn durchbohrt haben! Darf Jesus Ihr König sein?
Lorsque je ne me sens pas bien, je n’ai pas envie de chanter. Bien différente est l’attitude de Jésus ; il ne se laisse pas dominer par ses sentiments. Il sait ce qui l’attend : la mort sur la croix. Malgré cela, durant la nuit qui précède, il chante avec ses disciples les psaumes d’adoration (115 à 118). Il loue son Père dans les cieux, comme le font les Juifs encore aujourd’hui lors de la Fête de la Pâque. Il sait que son Père lui accorde aide et réconfort en toute circonstance.
– Plus tard, au Mont des Oliviers, il se retire seul pour prier. Il prie si intensément que sa sueur devient du sang. Il a peur de l’agonie sur la croix. Cependant, ce qui l’accable le plus, c’est le lourd fardeau du péché de l’humanité qu’il va porter, et pour lequel il va donner sa vie. Sur la croix, Jésus, l’homme sans péché, se trouve privé de communion avec Dieu. Mais c’est ainsi qu’il va vaincre pour toujours le pouvoir de la mort.
« La pierre qu’ont rejetée ceux qui bâtissaient, est devenue la principale de l’angle. »
Psaume 118, 22
Les chefs religieux le rejettent, lui, la personne clef qui construit le royaume de Dieu. Pour Dieu, Jésus est la fondation même du salut. Celui qui construit sa vie sur cette fondation devient une pierre vivante. Même la mort ne l’angoisse plus car il sait qu’elle n’aura pas le dernier mot !
Cette réalité divine peut paraître complètement décalée aujourd’hui, mais elle l’était déjà à l’époque de Jésus puisqu’il a été rejeté et cloué sur une croix. Comme Jésus est une fondation qui ne vacillera jamais, n’ayons pas peur des critiques, moqueries ou même persécutions de notre temps.
Si nous sommes solidement scellés sur cette fondation, la peur perdra son pouvoir contre nous. Malgré tout, nous pourrons même dire à Dieu notre reconnaissance et nous réjouir d’être chrétien. Comment vous situez-vous par rapport à cette affirmation ?
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